L’hiver, le poil protège. L’été c’est loin d’être esthétique et pas très aérodynamique. En conséquence, je revendique la possibilité de troquer ses poils contre des ailes. Oui, mais pas n’importe quelles ailes, des ailes d’anges ! Au choix celles de l’angelot de la Cathédrale de Berlin ou celles d’un ange (barbu) du jardin du Luxembourg voire celles de l’ange en bois du musée des Beaux-Arts de Nancy.
L’heure de l’être ange n’a pas sonné, en attendant, je vais retrouver les mésanges de ma campagne, en fermant les yeux.