Vue de l’échoppe d’un tailleur l’Inde (cf photo jointe en préambule à l’article), c’est étourdissant, un soulèvement en soi et de soi, corps et âme. Au bord du fleuve, ou sur terre, à la campagne, ou en ville, tout vous ramène à l’essentiel. De la nourriture au jeûne, de la marche à la méditation, du massage à l’endormissement, le trait d’union c’est la philosophie, celle de l’amour de son prochain qui passe par une verticalité intérieure. Avec le coccyx en gouvernail, je navigue à vue, et nue et je fais des rencontres, des nourritures terrestres humaines loin de l’évidence.
L’Inde vue d’en haut
