Des gilets orange sur les rails et l’invitation de Tristano à écouter Buxtehude Bach et lui-même

Des hommes du rail entretiennent les voies ferrées revêtus de gilets orange fluo, ils savaient que j’étais de sortie. Le soleil radieux éclaire les traverses. La journée sera gorgée de jus comme une orange.

Si vous pouvez ou voulez, je vous invite à écouter Francesco Tristano un pianiste interprète et compositeur qui joue du Bach, Buxtehude mais aussi du jazz et ses propres compositions.

Sur le livret de son album « long walk » je lis l’introduction : Vers la fin de l’automne 1705, Jean-Sébastien Bach, alors à peine âgé de 20 ans, entreprit une marche de presque 400 kilomètres qui le mena d’Arnstadt jusqu’à Lubeck dans le but de rencontrer le maître organiste Dietrich Buxtehude.

Derrière le pèlerinage se cache le geste métaphorique: celui de la rencontre avec un homme et avec la tradition, une quête dans le passé nécessaire pour se projeter dans le futur.

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