L’heure de la sieste passée, j’irais bien me laisser bercer par la brise du printemps finissant. Mes grandes oreilles se gonfleraient et j’ôterais mes défenses. Grands et petits éléphants se retrouveraient. Poulenc jouerait l’histoire de Babar, et je finirai par rejoindre en songe des compagnons de jeux et de hasard, Balthazar et nos amis.