1er we de juillet (ou plutôt le dernier de juin) c’est dimanche, le jour du repos du guerrier qui a remis les armes, le juste moment de ne pas contourner une échoppe en allant au musée, un petit coin retiré où boire un café. Ce matin, le cru proposé provient tout droit du Brésil, un brin acidulé, un brin d’air dans les cheveux. Qu’est-ce que ça fait du bien comme d’enjamber la Seine et d’admirer Notre-Dame qui trône et résiste au temps mais pas à mon regard tendre comme une orange pas encore pressée…