Kunstmuseum : badaboum

Bâle a renversé mon popotin une fois de plus. Son musée d’Art propose d’extraire régulièrement des œuvres Énormes de sa collection permanente non moins Gigantesque parallèlement à des expositions telles que le Kosmos Kubismus, Ikemura ou William Kentridge. La muséographie, à cet endroit, met toutes les conditions de son côté, l’œil n’a plus qu’à s’ouvrir et les émotions à sortir.

Salle du haut, place à l’expressionnisme abstrait, Clyfford Still 1957 mais aussi le Rothko des Sixties, un double noir qui met Soulages aux rencards.

Et puis, Barnett Newman et Jasper Johns et un Warhol pour finir en pop Art. J’ai oublié de préciser que ma big camera est restée logée dans la locked room du bas avec mon petit sac à dos. Alors merci à mon smartphone vieille pomme !

Abasourdie, je me projette dans le Kosmos Kubismus qui a fait l’objet de la même expo à Pompidou sauf que certaines œuvres doivent varier d’un endroit à l’autre. En substance, ce qui m’a soulevée du sol.

Derain sculpteur
Cézanne 1904/1906 la Ste Victoire vue des Lauves, celui sans lequel le Cubisme n’aurait pas été le Cubisme
Ce clown d’Henri Laurens
Juan Gris le livre
Picasso bien sûr qui doit beaucoup à Braque qui est le 1er à avoir déconstruit les formes et les images
Braque le 1er fils légitime de Cézanne
Fernand Léger
Sonia Delaunay
Raymond Duchamp
Calder : entre deux étages, j’étais dans les nuages avec ses oiseaux

Et puis, les autres toiles éparses et fantastiques

Baselitz et Arp
Ikemura
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