Avancer, vivre, marcher, respirer, en petit animal docile, respectueux des consignes et des règles et surtout rêver, en embrassant ce secret espoir de retrouver le sens des choses élémentaires, l’apprivoisement de la Terre et de sa fragilité grâce la poésie par exemple. Baudelaire n’est-il pas une ressource nécessaire en ce moment de quarantaine illimitée ?