Je préfère la vision de la nuit
à la prison de l’ennui,
les vibrations d’un amour d’un jour aux faux engagements d’un toujours.
Je crois au silence qui s’ancre
aux sons qui fuient
à l’essence qui relie
aux ailes qui se déplient.
J’espère en ce monde d’ici-bas
sans croire ni préférer celui de l’au-delà.