Un paradis qui remonte à 500 ans, 200 ha dont 50 000 M2 d’arbres ou d’arbustes sculptés autour d’un manoir (qui ne se visite pas) détenu par la même famille depuis l’origine et qui a hébergé l’auteur à qui l’on doit « fier comme Artaban ». Ça vaut le détour, toujours du côté de Sarlat, pas très loin des Eyzies.










