Les restaurants « purs jus » ne veulent pas de gaijin (étranger). Je suis polie, je souris, je parle japonais, rien n’y fait. Les seuls qui m’acceptent, ce sont les propriétaires des lieux tenus par des jeunes, ouverts sur des avenues. Les endroits confidentiels, j’ai dû ouvrir 10 portes, ce soir, avec ma vue périphérique, je constatais…
