Kafka, dans une lettre à son ami d’enfance Oskar Pollak, écrit « On ne devrait lire que des livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d’un coup sur le crâne, pourquoi le lisons-nous donc ? » Samedi dernier, mes yeux se sont arrêtés sur « Alors c’est bien »…
