Y a toujours un petit air de flûte quelque part

Au boulot, tout le monde joue de la flûte, pas du piccolo, du maousse costaud, rien de magique, des airs convenus, qui donnent l’impression d’une cacophonie, dont le point d’orgue pourrait être résumé par « Much Ado About Nothing » beaucoup de bruit pour rien.

Heureusement, Mozart a su offrir de vraies mélodies et une histoire humaine d’apprentissage, empruntée aux rites de la Franc-maçonnerie à cet instrument à vent que les lèvres effleurent et enchantent.

Et ce soir, avenue Montaigne, nous sommes quelques uns à avoir rendez-vous avec la magie de cet opéra chanté en allemand, réinterprété par Cédric Klapisch nouvellement venu dans le monde de la musique et du théâtre vivant.

Gageons que la Flûte enchantée saura nous apprivoiser et éclairer nos regards d’enfants.

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