Robert Ryman, jazzman devenu peintre, a côtoyé les membres de l’école de New-York et cherché de manière conceptuelle, minimaliste, à travailler le blanc, ses nuances de bleu ou de gris, plus ou moins froides ou chaudes, ses possibilités infinies de variations (consistance, transparence…), autrement dit la matière, ses aplats, ses multiples supports au-delà de la toile, ses accroches qui finissent par disparaître de la surface … des œuvres tournées vers la lumière. La muséographie, sert magnifiquement cette exposition géniale.
C’était à l’Orangerie, cet après-midi…juste à côté du Jeu de Paume et de l’expo Tina Modotti. J’y étais avec Mr T.















