Essayer de continuer à vivre sa vie

Imre Kertész a écrit « être sans destin », au retour du camp de Buchenwald.

J’ai eu la chance d’assister à la lecture du dernier chapitre par Denis Podalydès, accompagné et sur une idee du pianiste Pierre-Laurent Aimard, ce matin, au Théâtre des Champs-Elysées.

Pas de mots.

Oublier, comment commander à sa mémoire ?

Essayer de continuer à vivre.

S’il existe un destin, alors il n’existe pas de liberté, s’il existe une liberté alors il n’y a pas de destin. Ou plutot si, mon destin…

Ce sont des bribes que j’ai peut-être trahies.

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