Roppongi hills : Louise, Ando, en route vers le design du futur

J’avais dans ma mémoire endormie, le souvenir de ce lieu composite, à la fois très urbain et tranquille, chic sans déborder de luxe, apaisant, profondément apaisant.

Je voulais prendre le temps de m’immerger dans Tokyo avant d’y retourner, ça se passe un 31 juillet, le jour qui a succédé à la nuit au cours de laquelle la terre a tremblé, ici, à 4.7 de magnitude, et 3 d’intensité. Aujourd’hui, rien n’est perceptible et sur mon tatamis, dormant comme un loir, je n’ai rien ressenti. A l’inverse après ma matinée et avoir foulé les collines de Roppongi, mon cœur bat la chamade.

J’aime cet endroit, vous allez comprendre pourquoi.

Il est aéré, traversé d’avenues larges et bétonnées, sur lesquelles se croisent ponts et passerelles et il est aussi un entrelas de petites rues qui montent et qui descendent, de jardins, et de musées dont celui imaginé par Tadao Andao « design 21 21 ».

L’exposition temporaire est tournée vers les nouvelles technologies, les nano sciences inspirées notamment par l’étude de squelettes animaliers, les robots, et leurs applications pour une vie humaine facilitée au quotidien. Forcément génial, vous avez le droit de ne pas être d’accord !

Un personnage coqueluche pour les enfants qui se font photographier par leurs parents
Louise Bourgeois et sa célèbre araignée
La Tokyo tower quelques mètres de plus que la tour Eiffel, son modèle

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