En attendant le grand soir… je pérégrine, du côté de Ginza, au Artizon Museum (anciennement l’Ishibashi Foundation du nom de son illustre collectionneur ayant fait fortune dans le pneu Bridgestone à ne pas confondre avec Bridget Jones). Artizon est une contraction d’Art et d’Horizon, tout un programme.
L’exposition temporaire est allée puiser parmi les 3.400 oeuvres de la fondation et invite les curieux visiteurs à se poser des questions sur les œuvres, en les mettant en situation dans les intérieurs de leurs précédents propriétaires. A titre d’exemple, le saltimbanque au vêtement rouge, de Picasso, datant de 1923, a appartenu à Vladimir Horowitz. A un étage de son appartement deux pianos Steinway, à un autre son salon avec le Picasso, et plus bas ses invités. Quand allait-il retrouver le saltimbanque, lui l’Ukrainien citoyen américain et l’autre, Picasso, l’Espagnol ayant trouvé en la France une terre d’accueil et d’expression.
L’exposition était fabuleuse, en termes de mise en avant des oeuvres et le calme olympien n’otait rien.
Au-delà de Picasso, Matisse, Bonnard, Boudin, Manet, Monet, Renoir, Pissaro, Cézanne, Henry Moore, Brancusi, des Japonais plus ou moins illustres, Yayoi Kusuma, et tant d’autres retenaient notre attention, et nous remuaient les synapses jusqu’au bas du ventre.
















Bonjour Anne
Ce matin nous sommes allés à Blois chez le Dermato, cela c’est bien passé nous sommes revenus par VILLEROMAIN, il y a un petit resto trés fréquenté, nous y avons déjeuner pour 37 euros pour nous deux, les mets étaient simples mais bons, tous les tableaux de PICASSO sont très beaux nous passons les après-midi à regarder les jeux olympiques Bisous Suzanne
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