Soirée de fin de semaine, pas vraiment la meilleure, sur le papier, pas vraiment celle que j’aime. Pour mieux faire surhauffer mes synapses, je pars, sans idée fixe, ni idée de là où je souhaiterais aller, je suis le tracé des rues, et je bifurque ou j’avance avant de faire demi-tour et badaboum après des km de marche, je m’arrête devant un restaurant qui m’avait jetée plusieurs fois, et qui, ce soir, veut bien de moi. Mon ego remonte d’un cran voire plus…tout dépend de la qualité de la balance ! En termes de possons, c’est pas mal…
Un taisho, maître sushis, et différents personnages autour du bar, m’ont fait vivre une très belle soirée tout court. Avec mon voisin de droite, grâce à Google translate, nous avons beaucoup parlé, en particulier du surtourisme au Japon, à Kyoto et certains quartiers de Tokyo, comme le Senso-ji à Asakura. Il sort sans femme ni enfant, 1 fois par semaine, et était très intéressé par le pourquoi de ma venue au Japon..Au-delà de la culture, la cuisine et les alcools, lui ai-je dit. Cela lui a plu d’autant plus qu’il est chef lui-même et semble rencontrer des difficultés à vivre de sa passion.
Les sushis de thon, daurade, poulpe, anguille, et les grosses crevettes étaient « oishii ». J’aurais aimé goûter aussi le combre grillé, ce sera pourune autre fois peut-être. Le maître sushis en a fait des miniatures pour une Japonaise, magnifique, cf photo.














J’ai retrouvé mon nid, je dors déjà.
Mon voisin de droite m’a offert son éventail avant de partir, qui reprend une citation de l’époque d’Edo en substance « les personnages sont un rêve ».
Ils m’ont rappelé que les sushis se mangeaient avec les doigs… d’un coup. Pas de baguettes surtout !





✨💕✨💕
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