Rejoindre Shibuya, à pied, se fondre dans la foule, regarder les néons de marques internationales s’enflammer en haut des tours et observer les anonymes qui sont en mouvement, ici ou là, et, déjà ailleurs.
Et, se retrouver devant la caverne d’Ali Baba, Tower Records, un magasin de disques sur 8 étages, et des milliers de rayonnages de cd, de vinyles et de K7, l’antre rêvé, le sentiment de la re-découverte permanente, mon refuge lorsque j’étais étudiante, et encore aujourd’hui…
Enfin, en entrant dans le métro, la grande épicerie locale attendait le chaland, des corners de nourritures japonaises magnifiques, difficile de résister, j’avais envie de wagashi et d’un dorayaki, en souvenir du livre et du film, « les délices à Tokyo » et je n’en avais pas encore goûtés… ils étaient réellement dé-li-cieux.

















