Ueno and co

Départ aussitôt l’estomac rempli, direction Nippori, la Yamanote, arrêt à Ueno. Pas de boussole, repérer avec les yeux la verdure, le parc de 54 ha, hébergeant nombre de temples bouddhistes et de sanctuaires shintoïstes, et de musées, dont le célèbre musée national de Tokyo, le Louvre local, visité il y a 7 ans, et le non moins célèbre musée national de l’art occidental dessiné par Le Corbusier, qui concentre 7.000 œuvres dont des tableaux de Monet, Picasso, Van Gogh et des sculptures de Rodin…

Avant de déguster, dans la cafétéria de ce dernier musée (visite à venir), une assiette composée d’une petite portion de fusili à la tomate, de la mozarella, des crudités, et une soupe froide de maïs, le tout étant délicieux, j’ai déniché avec délectation, un autre bâtiment de Kuma Kengo, le centre de recherches informatiques sur le campus universitaire, à 15 min, à l’ouest du parc. Pour l’atteindre, j’ai traversé le lac, après avoir longé le zoo, et quelques sanctuaires.

La nature n’est pas aussi belle que pour Hanami, au printemps, à la floraison des cerisiers, sakura, époque à laquelle les Tokyoïtes viennent pique-niquer nombreux. Pour autant, je me suis régalée à regarder les fleurs de pavots, les lotus, les canards…et quelques objets vivants iconoclastes !

Un bébé lapin perdu dans le creux d’un tronc d’arbre du parc de Ueno
Une plaque d’égout Pont-à-Mousson, une œuvre d’art sur les sols des rues japonaises. Du street art donc, elles sont parfois, peintes, parfois brutes, et toujours attirent l’oeil.
L’automne précoce, des feuilles d’érable japonais
Vous aurez reconnu mon chouchou
Sur le campus
Un petit poisson hors d’eau
A la sortie de la station de Ueno, en chemin vers le parc
Une forme très répandue le cube pour les maisons Tokyoïtes, 2 étages et un rdc avec parfois un roof top comme ici et une place pour la vigie
Le musée national de l’art occidental de Le Corbusier

Laisser un commentaire