L’assomption d’Aneth : introduction

En reprenant l’idée du Japon, l’esquisse me semblait suffisante, beaucoup de livres lus dans ma bibliothèque (romans, nouvelles, poésie, mangas, guides d’architecture et d’architectes, guides touristiques), et de blogs consultés. Je ne voulais rien réserver ou presque. La seule journée, qui appelait de s’y prendre à l’avance, se déroule demain.

Ensuite, j’ai cheminé, je me suis dit, pose-toi, ou dépose-toi, dans un vieux quartier pas trop touristique, ce sera Yanaka (même si touristes, il y a, encore plus visibles que dans les grands quartiers où ils se retrouvent noyés), et dans un habitat traditionnel, de type machiya, et c’est ainsi que j’ai mis le doigt sur Hagiso, sauf qu’il n’est pas possible de réserver X mois à l’avance. Pas d’autres choix que de guetter la mise en ligne des 5 chambres 2,5 mois à l’avance, en tenant compte du décalage horaire.

Vivre au rythme des Tokyoïtes, visiter des expos, me promener, aller au bain public, au sento, et déguster des plats, des alcools, tout en laissant une grande place au hasard pour favoriser les rencontres ! La vie pourrait être plus difficile…

Les Tokyoïtes prennent le train, ils partent en WE, c’est ce que je vais faire pour ma dernière semaine, à partir de demain.

A suivre, une expo, … depuis quelque part entre Shinjuku et Shibuya

Quelque part entre Shinjuku et Shibuya

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