De la salle d’embarquement à l’hôtel de Boston

Avec mes amis bretons, nous nous sommes retrouvés avec quelques heures d’avance. J’ai eu le temps de faire du repérage et, par hasard, j’ai découvert un corner ou un spot de breuvages sans et avec alcool. Jus d’orange pour Cécile et 2 demi pintes de bières Pilsner pour mon Capitaine et moi. Après nos retrouvailles, et ce moment de rafraîchissement, est venu le temps des choses sérieuses, nous sommes passés à l’alcool fort en jetant notre dévolu respectivement sur un Campari et un whisky français, « Moissons » des Hautes Glaces. Difficile de résister…

Le serveur n’était ni adroit ni fin connaisseur mais adorable. Il a versé la dose de 2 cl depuis le cône en métal dans le verre avec trop d’enthousiasme si bien qu’un tiers du liquide est tombé à côté. Je lui ai dit que cela méritait un 2ème cône, et finalement j’en ai eu 4 !

C’était un excellent moment et un très bon whisky. Nous avons bien commencé le voyage dans la gaité et la bonne humeur. Le vol est passé comme une lettre à la poste d’autant que l’hôtesse de l’air en face de nous était naturellement sympathique et souriante.

Nous sommes arrivés sur le territoire américain autour de 17h heure locale, à l’heure prévue. Le contrôle des douanes s’est bien passé, ce fut rapide, quasi une simple formalité.

Un taxi nous a conduit à l’hôtel et cela m’à semblé long pour moins de 10 km en raison du trafic automobile.

Notre hôtel est bien placé à 30 min du port à pied et une quarantaine des musées et autres lieux historiques.

Hier soir, nous avons marché aux alentours et tous les restaurants et bars étaient blindés avec une musique assourdissante.

Nous avons acheté notre eau dans un 7 Eleven (ouverture de 7h du matinà 11h du soir).

Dans l’hôtel, les commodités se situent à l’étage, hors de la chambre. Tout est bien, et confortable. Réveil un peu en décalé, les 5h vont s’absorber progressivement.

La brique est partout
De jolies portes d’immeubles avec un escalier et un perron
La supérette locale ouverte de 7h du matin à 11h du soir
Notre A350-900 et son boule d’aile qui remonte

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