Fleurs, saveurs et douce compagnie in Normandy

Normandie, après l’orage, les fleurs sauvages mais bien élevées de Miss P., a French Italian English special gardener, colorent son jardin et poussent la ligne d’horizon dans des palettes et nuances de vert qu’Hockney ne saurait renier.

Le goût du parmesan de Padoue et des pâtes au citron basilic nous rendent joyeux, relayé plus tard dans le WE, par la saveur des œufs pochés d’une ferme d’à côté et d’un cidre fermier, sans parler du Pimm’s et des toasts de foie gras, ni faire l’impasse sur les merveilleux desserts de Vatelier le pâtissier de Quincampoix.

Quant à la marmelade maison aux oranges amères qui réveilla nos papilles endormies au petit déjeuner, elle est un rituel, typically British, que prolonge la vapeur du tea pot, recouvert d’un tissu brodé par une main amie délicate.

Ici c’est l’ailleurs, et d’ailleurs des photographes professionnels nomades se retrouvent invités par une association d’amateurs, et exposés en extérieur dans le cadre d’un festival sis à Martagny. Cette année les Îles Féroé voisinnent avec la centrale de Tchernobyl, les JO paralympiques de 2024 de Paris avec le cyclisme amateur du Nord, et les fonds marins avec les migrants d’Afrique. Ils s’appellent Adrien Michel, Lara Priolet, Xavier Lambours, Jono Allen et Édouard Elias…

Retour en voiture, les pylônes de RTE me font de l’œil, je ne résiste pas.

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