Hier, furent donnés à Ascain le quatuor et l’introduction et allegro, autrement dit de la musique de chambre de Ravel précédée d’un morceau pour clarinette de Boulez qui alternait et mêlait le jeu interprété, en direct, par un musicien avec de la musique enregistrée. Difficile de savoir qui joue, et de sérier une forme d’expression de l’IA du réel…
Le car local fut notre véhicule de transport. Un moment suspendu, un régal de plus, de cet été basque, bien dans nos baskets, jusqu’à courir avec ou sans bâton, dans les roues ou les pieds…n’est-ce pas ma 2ème maman !

















