Gyula Halász, dit Brassaï

Jour gris, 1er de novembre, une promenade murale se dessine sous mes yeux, celle du photographe Brassaï, artiste hongrois et français, qui a su voir ce qu’autres ignoraient, ou ne voyaient pas, le monde interlope, celui de la nuit, et des signes kabbalistiques, des graffitis, à Paris, dans les années 30 à 50. C’est un univers merveilleux et mystérieux qui se révèle, sur lequel le temps n’a pas de prise.

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