C’est la nuit, lundi n’a pas fini son tour du cadran et mardi arrive à pas feutrés. Ma tête se cale sur deux oreillers, proche du sommeil, un oeil de côté. En son centre, un réseau de flux d’informations délire en mode binaire, et, de la combinaison de 0 et de 1, aboutit un résultat…
