Ce soir, les yeux dans les yeux, j’avoue souffrir d’un épanchement narcissique de l’oeil. Pour être claire, j’en ai un qui regarde, pendant que l’autre aime à être regardé. Certes, c’est plus que permanent depuis un quinquennat, sauf que depuis quelques heures, je ne vois plus, je les ai invités à se faire discrets, à aller…
