Jour de pluie, œil qui frise (derrière le capteur, je vois les choses en face)

L’image n’aime rien d’autre que de sortir de sa boîte, même les jours de pluie ou les soirs de tempête. Et, parce que je suis sage comme une image, je vais voir ce qui se passe à tous les étages du monde à ma portée. Je descends les escaliers, avec en tête, un motif, aérer le museau de mon appareil photo, pour mieux me rapprocher de la chair et du vide, et jusqu’à la lie remplir mes yeux captifs, de lumière des Autres et du ciel.

 

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